L'autre Face de la mer / Louis-Philippe Dalembert / motifs

Liste de notices avec vignette et résumé Titre : L'autre Face de la mer Type de document : texte imprimé Auteurs : Louis-Philippe Dalembert, Auteur Editeur : motifs Description : 222p Format : 17cm ISBN/ISSN : 978-2-7538-0014-4 Résumé : D’une certaine façon la terre natale et la grand-mère c’est la même chose. Pour Jonas il n’y a pas de mère, il est élevé par sa grand-mère et celle-ci a juré de ne pas quitter l’île en dépit de son attirance pour les bateaux qui arrivent et partent du port et qui lui ont valu son surnom de Noubot (New boat). Cette île soumise à toutes les dictatures tout le monde veut la quitter, tente par tous les moyens de s’en échapper mais il y a un souvenir qui reste fort et qui hante tout le livre : écrits en contre-point des petits textes sans ponctuation disent ce que furent autrefois ces voyages en bateau où les hommes n’étaient que des animaux enchaînés et maltraités subissant sans cesse les assauts de la mer – ces coups de marteau contre la coque des navires. En écho viennent les coups de marteau des dictatures, peut-être pour cela que le vrai départ, celui de Jonas, ne pourra se faire en bateau, sans doute aussi parce qu’en dernier lieu le seul pays qui puisse accueillir les émigrants en masse monte un rideau d’acier pour empêcher l’exil, mais ce que Dalembert souligne c’est qu’il ne fallait pas créer de précédent ni perturber l’ordre des rapports de force dans le monde et que ce rejet s’est fait avec l’appui du Conseil d’urgence de la plus haute instance de la planète. Avec la mort de sa Grand-mère devant les images de ce blocus, ce sera sans doute le dernier crime de l’Occident qui le poussera à quitter l’île. Nature du document : fiction Genre : roman L'autre Face de la mer de Louis-Philippe Dalembert motifs, 222p D’une certaine façon la terre natale et la grand-mère c’est la même chose. Pour Jonas il n’y a pas de mère, il est élevé par sa grand-mère et celle-ci a juré de ne pas quitter l’île en dépit de son attirance pour les bateaux qui arrivent et partent du port et qui lui ont valu son surnom de Noubot (New boat). Cette île soumise à toutes les dictatures tout le monde veut la quitter, tente par tous les moyens de s’en échapper mais il y a un souvenir qui reste fort et qui hante tout le livre : écrits en contre-point des petits textes sans ponctuation disent ce que furent autrefois ces voyages en bateau où les hommes n’étaient que des animaux enchaînés et maltraités subissant sans cesse les assauts de la mer – ces coups de marteau contre la coque des navires. En écho viennent les coups de marteau des dictatures, peut-être pour cela que le vrai départ, celui de Jonas, ne pourra se faire en bateau, sans doute aussi parce qu’en dernier lieu le seul pays qui puisse accueillir les émigrants en masse monte un rideau d’acier pour empêcher l’exil, mais ce que Dalembert souligne c’est qu’il ne fallait pas créer de précédent ni perturber l’ordre des rapports de force dans le monde et que ce rejet s’est fait avec l’appui du Conseil d’urgence de la plus haute instance de la planète. Avec la mort de sa Grand-mère devant les images de ce blocus, ce sera sans doute le dernier crime de l’Occident qui le poussera à quitter l’île.

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R DAL	livre fiction	fiction	CDI	008252	Disponible

L'Ile du bout des rêves / Louis-Philippe Dalembert / motifs (2007)

Liste de notices avec vignette et résumé Titre : L'Ile du bout des rêves Type de document : texte imprimé Auteurs : Louis-Philippe Dalembert, Auteur Editeur : motifs, 2007 Description : 301p Format : 16cm ISBN/ISSN : 978-2-268-06298-3 Langues : Français (fre) Résumé : De port en port, de ville en ville, le héros voyage, libre de toute attache, si l’on excepte Zana, créature séduisante et mystérieuse rencontrée à Naples, qui traverse la vie sur un voilier et lui envoie des cartes postales du bout du monde. Un soir, dans un bar de Santiago de Cuba, un écrivain espagnol lui propose de partir à la recherche d’un trésor enterré sur l’île de la Tortue par Pauline Bonaparte, la sœur cadette de Napoléon. Mais l’expédition lui réserve bien des surprises. Le trésor est introuvable, et l’atmosphère de plus en plus tendue sur ce coin de terre isolé du reste du monde et peuplé de personnages interlopes. Et si l’écrivain était tout autre chose qu’un chercheur d’or ?… L’Île du bout des rêves s’inscrit dans la tradition du roman d’aventures à caractère politico-philosophique. Fantaisie baroque, poésie, humour et rêve de révolution font de ce livre l’un des grands romans de la littérature latino-américaine de langue française. Nature du document : fiction L'Ile du bout des rêves de Louis-Philippe Dalembert motifs, 2007, 301p De port en port, de ville en ville, le héros voyage, libre de toute attache, si l’on excepte Zana, créature séduisante et mystérieuse rencontrée à Naples, qui traverse la vie sur un voilier et lui envoie des cartes postales du bout du monde. Un soir, dans un bar de Santiago de Cuba, un écrivain espagnol lui propose de partir à la recherche d’un trésor enterré sur l’île de la Tortue par Pauline Bonaparte, la sœur cadette de Napoléon. Mais l’expédition lui réserve bien des surprises. Le trésor est introuvable, et l’atmosphère de plus en plus tendue sur ce coin de terre isolé du reste du monde et peuplé de personnages interlopes. Et si l’écrivain était tout autre chose qu’un chercheur d’or ?… L’Île du bout des rêves s’inscrit dans la tradition du roman d’aventures à caractère politico-philosophique. Fantaisie baroque, poésie, humour et rêve de révolution font de ce livre l’un des grands romans de la littérature latino-américaine de langue française.

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R DAL	livre fiction	fiction	CDI	008249	Disponible