Titre de série : |
Time Riders, 3 |
Titre : |
Time Riders : Code Apocalypse |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Alex Scarrow, Auteur |
Editeur : |
Nathan, 2012 |
Description : |
451 p. |
Langues : |
Français (fre) |
Résumé : |
- Mesdames et Messieurs, dit l'homme, voici ce que vous êtes tous venus voir. Dans quelques instants, je vais pénétrer dans cette cage de verre et disparaître. Tout simplement.
Anna Lopez secoua la tête.
Encore un cinglé. J'avais bien besoin de ça.
Elle observa le maigre public, composé de journalistes, comme elle. Elle en connaissait certains : un reporter qui couvrait les questions scientifiques et environnementales pour une radio numérique d'information européenne, et l'éditeur scientifique d'un périodique spécialisé dans les nouvelles technologies et basé à Stamford. Tous avaient reçu la semaine précédente le petit carton couleur crème les invitant à se rendre à la galerie Larkham «pour assister à une démonstration de la technique qui transformera la vie de chaque être humain sur notre planète menacée».
Anna Lopez soupira. Évidemment, la planète avait bien besoin de bonnes nouvelles. Galerie Larkham : elle avait trouvé que ça sonnait bien, ça évoquait pour elle un lieu avec du vin et de délicieux petits canapés servis sur des plateaux en argent. Au lieu de ça, ils étaient assis sur trois rangées de chaises en plastique particulièrement inconfortables dans un entrepôt sinistre avec un néon qui crépitait au-dessus de leur tête et l'écho d'un ploc ploc ploc de gouttes de pluie qui provenait d'on ne savait trop où.
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Nature du document : |
fiction |
Thème de fiction : |
histoire/technologie/temps |
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Time Riders, 3. Time Riders : Code Apocalypse
de Alex Scarrow
Nathan, 2012, 451 p.
- Mesdames et Messieurs, dit l'homme, voici ce que vous êtes tous venus voir. Dans quelques instants, je vais pénétrer dans cette cage de verre et disparaître. Tout simplement.
Anna Lopez secoua la tête.
Encore un cinglé. J'avais bien besoin de ça.
Elle observa le maigre public, composé de journalistes, comme elle. Elle en connaissait certains : un reporter qui couvrait les questions scientifiques et environnementales pour une radio numérique d'information européenne, et l'éditeur scientifique d'un périodique spécialisé dans les nouvelles technologies et basé à Stamford. Tous avaient reçu la semaine précédente le petit carton couleur crème les invitant à se rendre à la galerie Larkham «pour assister à une démonstration de la technique qui transformera la vie de chaque être humain sur notre planète menacée».
Anna Lopez soupira. Évidemment, la planète avait bien besoin de bonnes nouvelles. Galerie Larkham : elle avait trouvé que ça sonnait bien, ça évoquait pour elle un lieu avec du vin et de délicieux petits canapés servis sur des plateaux en argent. Au lieu de ça, ils étaient assis sur trois rangées de chaises en plastique particulièrement inconfortables dans un entrepôt sinistre avec un néon qui crépitait au-dessus de leur tête et l'écho d'un ploc ploc ploc de gouttes de pluie qui provenait d'on ne savait trop où.
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