[article]
Titre : |
Robert Boyer : "Le capitalisme sort considérablement renforcé par cette pandémie" |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Robert Boyer, Personne interviewée ; Antoine Reverchon, Intervieweur |
Editeur : |
Le monde éditions, 2020 |
Article : |
p.28-29 |
Langues : |
Français (fre) |
in Le Monde (Paris. 1944) > 23556 (03/10/2020)
Descripteurs : |
crise économique / économie de marché / politique économique
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Mots-clés : |
pandémie de Covid-19 |
Résumé : |
Entretien avec l'économiste Robert Boyer sur son analyse de la crise économique et des évolutions historiques divergentes des capitalismes : l'impact de la crise sanitaire, épidémie de Covid-19, sur la situation politique et économique française ; la transformation de l'économie ; le renforcement du capitalisme et des inégalités économiques ; la concurrence entre le capitalisme numérique et financier des GAFA et les capitalismes d'Etat ; la déstabilisation des relations internationales et la montée des populismes ; la remise en cause de la gestion de la crise sanitaire et de la politique de santé ; l'augmentation des incertitudes et des enjeux gouvernementaux ; la défense d'un modèle "anthropogénétique" de l'économie. |
Nature du document : |
documentaire |
Genre : |
article de périodique/Entretien, interview |
[article]
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Robert Boyer : "Le capitalisme sort considérablement renforcé par cette pandémie"
de Robert Boyer, Antoine Reverchon
In Le Monde (Paris. 1944), 23556 (03/10/2020), p.28-29
Entretien avec l'économiste Robert Boyer sur son analyse de la crise économique et des évolutions historiques divergentes des capitalismes : l'impact de la crise sanitaire, épidémie de Covid-19, sur la situation politique et économique française ; la transformation de l'économie ; le renforcement du capitalisme et des inégalités économiques ; la concurrence entre le capitalisme numérique et financier des GAFA et les capitalismes d'Etat ; la déstabilisation des relations internationales et la montée des populismes ; la remise en cause de la gestion de la crise sanitaire et de la politique de santé ; l'augmentation des incertitudes et des enjeux gouvernementaux ; la défense d'un modèle "anthropogénétique" de l'économie.
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