[article]
| Titre : |
En Syrie, le diplomate qui voulait "tordre le bras du diable" |
| Type de document : |
texte imprimé |
| Auteurs : |
Marianne Meunier, Auteur |
| Année : |
2021 |
| Article : |
p. 21-30 |
in La Croix > 41959 (13 mars 2021)
| Descripteurs : |
guerre / Syrie
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| Mots-clés : |
conférence d'Astana |
| Résumé : |
Syrie, les coulisses d’une paix impossible
En 2014, l’Italo-Suédois Staffan de Mistura est chargé par l’ONU de trouver une solution pacifique au conflit syrien. Une mission à laquelle ses confrères les plus chevronnés ont renoncé avant lui. Il la mènera pendant quatre ans, se sentant investi d’un devoir et ayant foi dans le singulier métier de négociateur. Plongée dans les coulisses d’une paix impossible. 10 ans que la guerre civile déchire la Syrie et Alep. Pendant ce conflit, Bachar el-Assad est accusé de crimes de guerre et de crimes contre l'humanité par l’ONU en raison de bombardements ciblés contre les populations civiles, de l'utilisation d'armes chimiques et de la mort sous la torture ou par pendaison d'au moins plusieurs dizaines de milliers d'opposants politiques. |
| Note de contenu : |
En 2011, sa répression des manifestations du printemps arabe provoque le déclenchement de la guerre civile syrienne. Les interventions militaires de l'Iran et de la Russie lui permettent cependant de se maintenir au pouvoir. |
| Nature du document : |
documentaire |
| Genre : |
article de périodique |
[article]
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En Syrie, le diplomate qui voulait "tordre le bras du diable"
de Marianne Meunier
In La Croix, 41959 (13 mars 2021), p. 21-30
Syrie, les coulisses d’une paix impossible
En 2014, l’Italo-Suédois Staffan de Mistura est chargé par l’ONU de trouver une solution pacifique au conflit syrien. Une mission à laquelle ses confrères les plus chevronnés ont renoncé avant lui. Il la mènera pendant quatre ans, se sentant investi d’un devoir et ayant foi dans le singulier métier de négociateur. Plongée dans les coulisses d’une paix impossible. 10 ans que la guerre civile déchire la Syrie et Alep. Pendant ce conflit, Bachar el-Assad est accusé de crimes de guerre et de crimes contre l'humanité par l’ONU en raison de bombardements ciblés contre les populations civiles, de l'utilisation d'armes chimiques et de la mort sous la torture ou par pendaison d'au moins plusieurs dizaines de milliers d'opposants politiques.
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En Syrie, le diplomate qui voulait "tordre le bras du diable" in La Croix, 41959 (13 mars 2021)