[article]
Titre : |
Santé mentale : changer d'approches ? |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Françoise Dupuy-Maury, Auteur |
Année : |
2020 |
Article : |
p. 24-35 |
in Inserm le magazine > 48 (décembre 2020)
Descripteurs : |
psychiatrie / psychopathologie / santé / santé mentale
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Résumé : |
Les maladies mentales restent encore bien trop souvent considérées comme un sujet tabou. Nous peinons à les reconnaître comme des troubles ordinaires qui peuvent nous toucher ainsi que nos proches, et à intervenir lorsque c'est nécessaire. Difficile en effet de faire correspondre les tourments privés dont nous faisons l'expérience dans notre intimité psychique, avec des dérèglements plus généraux qui pourraient avoir une origine environnementale et biologique, et que l'on pourrait étudier à l'échelle de groupes humains. Aujourd'hui, la recherche biomédicale a pour défi de tisser ces correspondances afin de mieux soigner, mais aussi de casser les stéréotypes qui freinent l'accès aux soins. Car, non, ce n'est pas que dans notre tête. |
Note de contenu : |
Dossier. |
Nature du document : |
documentaire |
En ligne : |
http://www.inserm.fr/actualites/rubriques/magazine-science-sante |
[article]
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Santé mentale : changer d'approches ?
de Françoise Dupuy-Maury
In Inserm le magazine, 48 (décembre 2020), p. 24-35
En ligne : http://www.inserm.fr/actualites/rubriques/magazine-science-sante
Les maladies mentales restent encore bien trop souvent considérées comme un sujet tabou. Nous peinons à les reconnaître comme des troubles ordinaires qui peuvent nous toucher ainsi que nos proches, et à intervenir lorsque c'est nécessaire. Difficile en effet de faire correspondre les tourments privés dont nous faisons l'expérience dans notre intimité psychique, avec des dérèglements plus généraux qui pourraient avoir une origine environnementale et biologique, et que l'on pourrait étudier à l'échelle de groupes humains. Aujourd'hui, la recherche biomédicale a pour défi de tisser ces correspondances afin de mieux soigner, mais aussi de casser les stéréotypes qui freinent l'accès aux soins. Car, non, ce n'est pas que dans notre tête.
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