[article]
Titre : |
Attentat du 13 novembre 2015 : Vous n'aurez pas ma haine |
Titre original : |
Des victimes témoignent de la vie d'après |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Marie Boéton, Auteur |
Année : |
2021 |
Article : |
p. 20-30 |
in La Croix > 42104 (04 septembre 2021)
Descripteurs : |
procès / terrorisme
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Résumé : |
Les victimes des attentats du 13 novembre 2015 auraient pu se consumer dans un désir de vengeance. Certaines dentre elles, pourtant, ont emprunté les chemins de lécriture, de lengagement ou de la réinvention de soi. Marie Boëton les a rencontrés.
Un procès-fleuve. À partir du 8 septembre, et pendant neuf mois, seront jugés une vingtaine dindividus suspectés dêtre impliqués dans les attentats du 13 novembre 2015. On y entendra accusés, parties civiles et avocats. En marge des audiences, on devrait aussi entendre une classe politique désireuse, à un an de la présidentielle, de se positionner sur le thème ultrasensible de la sécurité.Dans ce bruit médiatique, nous voulions donner la parole aux victimes qui, comme Antoine Leiris, martèlent depuis cinq ans : « Vous naurez pas ma haine. » |
Nature du document : |
documentaire |
Genre : |
témoignage |
[article]
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Attentat du 13 novembre 2015 : Vous n'aurez pas ma haine
de Marie Boéton
In La Croix, 42104 (04 septembre 2021), p. 20-30
Les victimes des attentats du 13 novembre 2015 auraient pu se consumer dans un désir de vengeance. Certaines dentre elles, pourtant, ont emprunté les chemins de lécriture, de lengagement ou de la réinvention de soi. Marie Boëton les a rencontrés.
Un procès-fleuve. À partir du 8 septembre, et pendant neuf mois, seront jugés une vingtaine dindividus suspectés dêtre impliqués dans les attentats du 13 novembre 2015. On y entendra accusés, parties civiles et avocats. En marge des audiences, on devrait aussi entendre une classe politique désireuse, à un an de la présidentielle, de se positionner sur le thème ultrasensible de la sécurité.Dans ce bruit médiatique, nous voulions donner la parole aux victimes qui, comme Antoine Leiris, martèlent depuis cinq ans : « Vous naurez pas ma haine. »
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