[article]
Titre : |
Haute fonction publique : les enjeux de la réforme |
Type de document : |
texte imprimé |
Editeur : |
Le monde éditions, 2021 |
Article : |
p.32-33 |
Langues : |
Français (fre) |
in Le Monde (Paris. 1944) > 23768 (09/06/2021)
Descripteurs : |
haut fonctionnaire
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Mots-clés : |
réforme administrative élite (système social) |
Résumé : |
Dossier consacré aux enjeux de la réforme de la Haute fonction publique, destinée à rétablir la confiance des citoyens et à instaurer une nouvelle relation entre la société et l'administration. Point de vue de Pierre Allorant, professeur d'histoire du droit et des institutions, qui déplore le projet de suppression des préfets. Point de vue d'Agnès Arcier, haut fonctionnaire, qui regrette que la réforme de la haute fonction publique n'érige pas la parité au rang de priorité. Plaidoyer de Jean-Marie Spaeth pour que soient inscrits dans la Constitution l'intérêt général et la subsidiarité. Point de vue de l'énarque Lucile Schmid, qui estime que la suppression de l'ENA et son remplacement par une institution plus adaptée ne peuvent prendre leur sens que dans une transformation globale des relations entre les acteurs publics et la société. |
Nature du document : |
documentaire |
Genre : |
roman ESP |
[article]
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Haute fonction publique : les enjeux de la réforme
In Le Monde (Paris. 1944), 23768 (09/06/2021), p.32-33
Dossier consacré aux enjeux de la réforme de la Haute fonction publique, destinée à rétablir la confiance des citoyens et à instaurer une nouvelle relation entre la société et l'administration. Point de vue de Pierre Allorant, professeur d'histoire du droit et des institutions, qui déplore le projet de suppression des préfets. Point de vue d'Agnès Arcier, haut fonctionnaire, qui regrette que la réforme de la haute fonction publique n'érige pas la parité au rang de priorité. Plaidoyer de Jean-Marie Spaeth pour que soient inscrits dans la Constitution l'intérêt général et la subsidiarité. Point de vue de l'énarque Lucile Schmid, qui estime que la suppression de l'ENA et son remplacement par une institution plus adaptée ne peuvent prendre leur sens que dans une transformation globale des relations entre les acteurs publics et la société.
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