[article]
Titre : |
Tour de vis sur les influenceurs |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Florence Pagneux, Auteur |
Année : |
2021 |
Article : |
p. 15-16 |
in La Croix > 42141 (18 octobre 2021)
Descripteurs : |
consumérisme / protection / publicité / réseau numérique
|
Résumé : |
Les influenceurs ont pris une place grandissante dans la communication des marques sur les réseaux sociaux. Une régulation simpose pour protéger les consommateurs.
"Avec plusieurs millions dabonnés sur les réseaux sociaux (Instagram, Twitter, Tik Tok
), Nabilla fait partie des influenceuses à très large audience. Révélée par une émission de téléréalité, cette jeune femme connue pour ses répliques sans filtre (« Non mais allô, quoi ! ») a fait parler delle dune tout autre manière en juillet. La Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF) lui a infligé une amende de 20 000 pour pratiques commerciales trompeuses.
En cause, une vidéo de janvier 2018 sur le réseau social Snpachat, très prisé des jeunes, dans laquelle elle faisait la promotion de services de vente et dachat de bitcoin (une cryptomonnaie). Dans cette « story », Nabilla avait omis de mentionner quelle avait été rémunérée pour en faire la promotion. (...)" |
Nature du document : |
documentaire |
Genre : |
Roman ITA |
[article]
|
Tour de vis sur les influenceurs
de Florence Pagneux
In La Croix, 42141 (18 octobre 2021), p. 15-16
Les influenceurs ont pris une place grandissante dans la communication des marques sur les réseaux sociaux. Une régulation simpose pour protéger les consommateurs.
"Avec plusieurs millions dabonnés sur les réseaux sociaux (Instagram, Twitter, Tik Tok
), Nabilla fait partie des influenceuses à très large audience. Révélée par une émission de téléréalité, cette jeune femme connue pour ses répliques sans filtre (« Non mais allô, quoi ! ») a fait parler delle dune tout autre manière en juillet. La Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF) lui a infligé une amende de 20 000 pour pratiques commerciales trompeuses.
En cause, une vidéo de janvier 2018 sur le réseau social Snpachat, très prisé des jeunes, dans laquelle elle faisait la promotion de services de vente et dachat de bitcoin (une cryptomonnaie). Dans cette « story », Nabilla avait omis de mentionner quelle avait été rémunérée pour en faire la promotion. (...)"
|
| |