[article]
Titre : |
Stella MCCartney : "On est plus fragile quand on est écoresponsable" |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Elvire Von Bardeleben, Auteur ; Stella McCartney, Auteur |
Editeur : |
Le monde éditions, 2022 |
Article : |
p.36 |
Langues : |
Français (fre) |
in Le Monde (Paris. 1944) > 24007 (15/03/2022)
Descripteurs : |
Angleterre / industrie de luxe / styliste de mode
|
Résumé : |
Entretien avec la créatrice de mode anglaise, Stella McCartney, sur son parcours professionnel et sa conception d'une mode écoresponsable : sa collection inspirée par le peintre Franck Stella présentée au Centre Pompidou lors de la Fashion Week parisienne, en mars 2022 ; son point de vue sur l'invasion de la Russie par l'Ukraine ; son fonctionnement pour une création écoresponsable ; la nécessité de réguler l'industrie de la mode et de mesurer son impact sur l'environnement ; sa conception du produit de luxe comme un investissement à long terme ; ses débuts de créatrice ; sa place de femme dans une industrie dominée par les hommes ; son rapport aux réseaux sociaux ; le poids de son nom de famille ; le tiraillement entre la vie professionnelle et la vie familiale. |
Nature du document : |
documentaire |
Genre : |
article de périodique |
[article]
|
Stella MCCartney : "On est plus fragile quand on est écoresponsable"
de Elvire Von Bardeleben, Stella McCartney
In Le Monde (Paris. 1944), 24007 (15/03/2022), p.36
Entretien avec la créatrice de mode anglaise, Stella McCartney, sur son parcours professionnel et sa conception d'une mode écoresponsable : sa collection inspirée par le peintre Franck Stella présentée au Centre Pompidou lors de la Fashion Week parisienne, en mars 2022 ; son point de vue sur l'invasion de la Russie par l'Ukraine ; son fonctionnement pour une création écoresponsable ; la nécessité de réguler l'industrie de la mode et de mesurer son impact sur l'environnement ; sa conception du produit de luxe comme un investissement à long terme ; ses débuts de créatrice ; sa place de femme dans une industrie dominée par les hommes ; son rapport aux réseaux sociaux ; le poids de son nom de famille ; le tiraillement entre la vie professionnelle et la vie familiale.
|
|